samedi 31 décembre 2016

Le Comté

Le Comté est un fromage au lait cru, à pâte pressée cuite. Le terroir du Comté s’étend sur tout le massif du Jura, c’est-à-dire sur les départements du Jura, du Doubs et de l’Ain.

Pour pouvoir avoir l’appellation Comté, le lait qui sert à le produire doit provenir du massif du Jura et de vaches de race Simmental française ou Montbéliarde. Les vaches sont en montagne l’été et sont nourries à base de foin l’hiver. Les aliments fermentés type ensilage sont interdits.

Une meule de Comté pèse environ 40 kilogrammes et il faut 400 litres de lait pour  en produire une. Les fromageries où l’on fabrique le Comté son appelées des fruitières. Il existe 150 fromageries dans lesquelles du Comté est produit.

Le Comté est affiné entre 4 mois (minimum) et 18 mois. Ce temps d’affinage donne un goût particulier à chaque Comté. De plus, en fonction du fromager, du lieu d’affinage et du terroir de production, le Comté aura une saveur différente.

En 1958, le Comté passe sous Appellation d’Origine Contrôlée (sigle à portée nationale) et en 1996, en Appellation d’Origine Protégée (sigle à portée Européenne).

Simmental Française
Montbéliarde

Meule de Comté

Sources :

Bastien

vendredi 30 décembre 2016

Le plan d’accouplement

Ce vendredi, le technicien est venu nous faire le plan d’accouplement des vaches et des génisses que nous allons inséminer dès le 15  janvier.

La première phase consiste à analyser le troupeau tout en tirant les prochains axes d’améliorations de la génétique du troupeau. En ce qui nous concerne, il faut que l’on augmente la production de lait, le développement musculaire et la facilité de naissance pour que les broutards charolais que l’on produit fassent plus de viande tout en aillant une naissance facile.

La deuxième phase se fait sur ordinateur. Le technicien sélectionne toutes les femelles à inséminer sur son logiciel. Celui-ci connaît les index de chaque individu pour en définir les défauts et la descendance jusqu’à 9 générations pour éviter la consanguinité.

Mise en place du plan grâce au logiciel

Extrait du plan d'accouplement

Rémi L.
Ensuite, le technicien et l’éleveur vont choisir les taureaux qui vont assurer la descendance du troupeau. Et l’ordinateur va définir, selon les défauts de chaque femelle, le taureau parmi ceux choisis le plus adapté, tout en prenant en compte le taux de consanguinité.

jeudi 29 décembre 2016

La tonte des vaches et des veaux

Nous avons un troupeau de 70 mères de race Charolaise dans les Ardennes. Les vaches sont rentrées à l’étable au mois de novembre pour les vêlages qui se feront jusqu’au mois de février.

Lorsque les vaches rentrent dans les bâtiments pour y passer l’hiver elles passent par la case coiffure. 


Nous tondons le dos et la tête des vaches, cela permet aux bêtes de moins transpirer puisqu’elles sont dans un bâtiment fermé. Il n’y a qu’une aération qui ne permet pas de les sécher si l’air est humide.
Lorsqu’une vache ou un veau a le dos trempé, le développement des poux, de la grippe et des problèmes respiratoires arrivent plus facilement. C’est pourquoi nous tondons le dos des veaux et des vaches.

Nous tondons aussi la queue pour qu’elle soit plus propre, cela nous permet de travailler dans des conditions plus saines lors des vêlages.

Et pour finir les poils des oreilles y passent aussi pour mieux identifier leur numéro.

Cela ne prend pas beaucoup de temps, 5 minutes par vache en moyenne. Nous les tondons lorsqu’elles mangent, attachées aux cornadis, cela ne les dérange pas puisqu’elles ne pensent qu’à une chose : manger, manger et manger.



Rémi L.

mardi 27 décembre 2016

L'insémination artificielle par semence sexée

Le principe consiste à trier les spermatozoïdes mâles et femelles pour que l’éleveur puisse choisir le sexe du veau qu’il veut obtenir.



Cette technique a connu une accélération commerciale depuis 2007. Gènes Diffusion par exemple propose des semences sexées mâle ou femelle dans son catalogue de taureaux Charolais.

J’ai trouvé cette innovation intéressante car elle permet de gérer le nombre de mâles et de femelles dans l’exploitation avec une fiabilité de 90% et d’améliorer la qualité de son troupeau. La semence sexée mâle permet d’accroître son revenu par une meilleure valorisation commerciale des animaux nés, et la semence sexée femelle permet de choisir son renouvellement sans le subir et accélérer le progrès génétique par la voie femelle.

Mais cette méthode a des limites car la paillette sexée coûte environ 30€ de plus et la fertilité est moins bonne qu’en semence conventionnelle, cela est dû à la concentration plus faible en spermatozoïde. L’enjeux est donc d’améliorer la fertilité tout en diminuant sont coût.

Damoiseau un reproducteur issu du GAEC Rolin en Haute-Saône

Sources : Gènes Diffusion ; Réussir Bovins Viande

Rémi L.

dimanche 25 décembre 2016

Joyeux Noël à Tous !

Toute l'équipe du TNLA 2017 vous souhaite de très belles fêtes de Noël !!


L'équipe TNLA 2017

vendredi 23 décembre 2016

Tout savoir sur la race Charolaise !

La Charolaise est la race de boucherie la plus connue en France et dans le monde, elle est originaire de Saône et Loire.

La Charolaise est reconnue pour son exceptionnelle efficacité alimentaire et ses qualités maternelles. Elle est très prisée pour les croisements, aussi bien en France qu'à l'étranger : la race Charolaise est la première race allaitante en France en effectifs, et elle est présente dans 70 pays du monde.

Les objectifs de production de la race Charolaise sont de parvenir à la production d'un veau par vache et par an, sans assistance au vêlage, de produire des carcasses haut de gamme sans excès de gras, et de conserver la croissance naturelle et la conformation bouchère du charolais, qui représentent ses meilleurs atouts.

Voici comment reconnaître une Charolaise !



mardi 20 décembre 2016

Noémie nous parle ... de la grippe aviaire

Nous sommes une fois de plus touchés par ce virus ... la grippe aviaire qui fait des milliers de victimes en France.

C’est une maladie infectieuse qui touche essentiellement les oiseaux. Tous les oiseaux sont sensibles à cette infection, bien que certaines espèces soient plus résistantes que d'autres. Elle peut avoir des symptômes très variés, allant d'une forme bénigne à une maladie très contagieuse et rapidement mortelle qui provoque de graves épidémies. 

L’homme est également susceptible de l’attraper en étant au contact d’un animal contagieux.

En France, 19 foyers de grippe aviaire ont été recensés dans des élevages de volaille.

Selon le ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll « Les mesures de biosécurité seront appliquées avec toute la sécurité nécessaire »

                                     

Source : Le Monde

Noémie

lundi 19 décembre 2016

Réunion d'équipe !

L'échéance approche à grand pas, nous avons donc fait une petite réunion pour mettre au point le scénario de notre présentation lors du salon. On ne vous en dit pas plus, histoire de garder la surprise ! Rendez-vous au salon pour découvrir ce que l'on vous a concocté ! 😉

Coucou c'est nous ! 
L'équipe TNLA 2017

dimanche 18 décembre 2016

Notre affiche est imprimée !

Notre affiche est enfin prête ! Nous l’envoyons à Paris aujourd’hui. 

Le thème du TNLA 2017 est « L’agriculture : une passion, des ambitions ». Nous avons choisi de mettre l’accent sur la passion de l’élevage. En ce qui concerne les ambitions, nous nous sommes orientés vers l’idée de transmission. En effet, une exploitation ne peut avoir d’avenir et donc d’ambitions si elle doit être démantelée faute de successeur.

Voici donc notre affiche, nous espérons qu’elle vous plaise :


L'équipe TNLA 2017

jeudi 15 décembre 2016

Bastien nous parle ... de la vénerie en France

Le terme de vénerie est le terme noble pour désigner la chasse à courre. La chasse à courre est un mode de chasse ancestral qui consiste à traquer un animal sauvage (cerf, sanglier, chevreuil, renard ou lièvre) jusqu’à sa prise à l’aide d’une meute de chien. On parle de petite vénerie pour les équipages qui chassent le lièvre, le lapin et le renard et on parle de grande vénerie pour les équipages qui chassent le chevreuil, le sanglier et le cerf.

Elle se distingue de la chasse à tir car seul les chiens chassent grâce à leur odorat et leur instinct naturel. L’homme et là pour les contrôler et pour daguer l’animal une fois que les chiens l’ont attrapé.

En France on compte 410 équipages de chasse à courre :

  • 138 de lièvre 
  • 93 de chevreuil 
  • 47 de lapin 
  • 44 de renard 
  • 49 de sanglier 
  • 37 de cerf

Un équipage est composé de différents membres : des gilets et des boutons placés sous la direction du maître d’équipage et assisté de piqueux et de valets de chiens. Ils sont soit à pied ou soit à cheval. 

Un cheval de chasse à courre doit être robuste, calme et endurant. Il doit être particulièrement bien résistant car il est amené à faire plus de 50 km par chasse et doit aussi braver le climat.

Les chiens quant à eux sont très important car c’est eux qui font la réussite d’un équipage. Les chiens ne doivent chasser qu’une espèce d'animal donnée, cela demande donc un bon dressage. Les chiens utilisés en vénerie sont des chiens courant comme le français tricolore ou la poitevin.

Pour la communication pendant la chasse à courre, on utilise une trompe de chasse. Cette dernière permet de faire connaitre le déroulement de la chasse à toutes les personnes présentent. Les veneurs sonnent des fanfares « de circonstance », par exemple, le « bien-aller » indique que les chiens sont sur la bonne voie, le « débucher » que la meute est en plaine et se dirige vers un autre massif forestier, le « bat-l'eau » que l'animal de chasse est dans un étang ou une rivière, la « vue » que l'animal de chasse est vu par le sonneur.

Au cours de la « curée », on sonne de nouveau les fanfares sonnées au cours de la chasse pour rappeler les différents épisodes. Lorsque les chiens « font curée », on sonne d'autres fanfares dédiées aux veneurs présents.

Chien français tricolre
Trompe de chasse


















Sources :

samedi 10 décembre 2016

Pointage départemental

Jeudi dernier nous avons participé au concours de pointage départemental.
La journée était divisée en deux partie : le matin nous avons jugé des Charolaises et l'après midi les Prim'Holsteins.
Sur la trentaine de participants, nous sommes fiers de pouvoir dire que les 4 finalistes font partie de l'association Vach'Expo et participeront donc au concours de pointage organisé lors du SIA !
Bravo à Pierre-Henri, Olivier et Eloïse pour leur performance !
Résumé de cette journée en vidéo :



L'équipe TNLA 2017


vendredi 9 décembre 2016

Ariane nous parle ... du module de découverte en 1ère année

Depuis fin septembre, Noémie et moi nous rendons tous les lundis soir à la ferme du Bois, l’exploitation laitière de notre école, dans le cadre d’un module de découverte. Récents de cette année, ces derniers permettent de nous faire découvrir le fonctionnement de l’industrie laitière et d’apprendre les liens entre productivité et comportement animal.

Les Prim’Holsteins sont très différentes de nos Charolaises mais étudier leurs habitudes à la ferme est tout aussi passionnant. Chaque semaine nous sommes chargées d’étudier un paramètre différent de l’exploitation. Par exemple, nous devons relever les données du robot laitier et les mettre en lien avec la quantité de concentré distribué à chaque vache pour comprendre l’impact de l’alimentation sur la production de lait. Nous avons aussi dû évaluer l’état de propreté et la NEC de chaque animal, ou encore mesurer et peser les veaux.

Ce module nous permet d’être au contact de l’animal et d’étudier des éléments concrets, ce qui est une excellente opportunité. Nous avons aussi eu la chance d’assister au premier pas d’un petit veau ! 

Le voilà !

Ariane


mercredi 7 décembre 2016

Rémi nous parle ... de l'agriculture biologique

Mon père a converti en bio l’intégralité de la ferme familiale en 2005. Ce choix vient d'une sensibilité forte pour la protection de l'environnement et pour préserver la santé de notre famille. Nous avons commencé avec 75 ha et une dizaine de vaches de race Blonde d’aquitaine pour atteindre aujourd’hui 160 ha et 50 vaches qui occupent deux salariés. Ce développement n’aurait jamais été possible sans le passage en bio et la mise en place de la vente directe.

Aujourd’hui nous sommes autonomes pour ce qui est de l’alimentation des bovins. L’été, les vaches sont en pâture et l’hiver elles sont nourries avec du foin et un mélange de céréales et protéagineux produits sur la ferme.

Une pâture de chez moi !

Le respect des cycles naturels de croissance des bœufs et génisses de boucheries permet d'obtenir une viande de qualité. Si le travail de l'éleveur est important pour amener les animaux au bon stade, c'est tout le travail de l'abattoir et la qualité du boucher qui vont révéler les saveurs de la viande. Nous faisons maturer les carcasses pendant 8 jours minimum en chambre froide pour obtenir une viande plus tendre et de meilleur goût.

La commercialisation de la viande se fait essentiellement en vente directe avec des colis de 5 kg ou 10 kg selon la composition. Tous les morceaux sont ensachés, mis sous-vide et étiquetés prêts à être congelés.

Viande de qualité assurée !

Si vous êtes intéressés et si vous souhaitez un bon de commande merci de contacter mon père à l’adresse suivante : olivierdesmarest@orange.fr

Rémi D.

mardi 6 décembre 2016

"La famille Bélier"

Demain soir, la Direction de la Mission Educative et de la Vie Etudiante, et les associations AGE, Vach’Expo, et Handi-LaSalle sont heureuses de convier les étudiants et salariés d'UniLaSalle -Campus Beauvais à la projection du film « La Famille Bélier » en présence de l’acteur Luca Gelberg qui joue le frère de Louane dans le film.
Luca Gelberg est sourd tout comme son personnage dans le film. C’est en coopération avec les responsables de Handi’Ferme, une des branches de Vach’Expo que s’est fait ce projet.
Une initiation à la Langue des Signes Française sera proposée.
Le film sera suivi de l’intervention de Luca Gelberg en présence d’un traducteur !

Voici la bande annonce du film :


Victoire

La ferme de Maurepas en image !

On s'est dit qu'il manquait cruellement d'images pour que vous puissiez visualiser au mieux la beauté du paysage Normand et tout particulièrement la verdure des pâtures du département de l'Eure. Alors voilà, c'est chose faite, voici une petite vidéo rassemblant quelques photos !


L'équipe TNLA 2017

lundi 5 décembre 2016

Guillaume, le responsable communication, nous parle de son stage à l'étranger !

Bonjour, je m'appelle Guillaume et je suis actuellement en 3 année section agriculture.

Je suis parti cet été pendant 4 mois en Nouvelle Zélande. J'ai travaillé dans une exploitation agricole qui compte pas moins de 1200 vaches laitières.

Les vêlages débutent aux environs du 15 juillet et se terminent aux alentours du 15 septembre ; la majorité s’effectuent en août. Mon job était de ramasser les veaux dans les prairies tous les matins. Certains jours, on pouvait ramasser jusqu'à 50 veaux ! Deux fois par jour, je déplaçais les vaches des paddocks à la salle de traite à l'aide d'une moto. Pour l'alimentation, nous déplacions des clôtures électriques quotidiennement. 

L'équipe avec laquelle je travaillais était composée de 4 philippins et de 2 néo-zélandais. Tous étaient très sympathique avec moi tout comme mes maîtres de stage qui m'ont permis d'avoir une expérience aussi enrichissante sur le plan professionnel que sur le plan social.

Voilà un panneau de mon exploitation de stage !
Guillaume

dimanche 4 décembre 2016

L’AOP « Maine-Anjou »

Approfondissons nos connaissances sur cette AOP ;)

Qu'est-ce qu’une AOP ?
L'Appellation d'Origine Protégée est une garantie liée à un produit d'une particularité liée à une zone géographique précise et un savoir-faire spécifique. Elle garantit les qualités et caractéristiques du terroir d'origine et du savoir-faire du producteur. Ce sigle à une signification à l'échelle européenne. Les produits sous AOP répondent à un cahier des charges validé, en France, par l'INAO dépendant du ministère de l'Agriculture.

Historique de la race
Cette race est une volonté des hommes.
La Rouge des près, anciennement Maine Anjou, est le résultat de croisements entre la race Durham et la race Mancelle commencés un peu avant 1830. Les caractères actuels ont été fixés par la reproduction entre deux des animaux issus de ces croisements. De la Mancelle, la race Maine Anjou tient sa rusticité, sa sobriété, sa vigueur et sa prédisposition à l'engraissement. La Durham lui a apporté la précocité.
Le premier taureau de race Durham fut importé vers 1850 par le Comte de Falloux, il s'appellait VENDREDI.

Pour quelles raisons cette race est passée sous AOP ?
Les éleveurs délaissaient cette race. Elle était signe de vêlages difficiles car c'est une race lourde. On a donc assisté à une réduction des effectifs de la Maine Anjou.
Afin d'enrayer le déclin d'une race locale, un groupe d'éleveurs a fait preuve d'une démarche innovante, pour mieux faire reconnaître la spécificité de la viande issue d'animaux « Maine-Anjou » à l'aide d'un sigle officiel de qualité.
Cette race est passée en AOP le 4 novembre 2005.

Le logo de l'AOP "Maine-Anjou"

Source : http://www.maine-anjou.fr/fr/AOP-Maine-Anjou/

Bastien

samedi 3 décembre 2016

Bastien nous parle de la ferme de la Rinière de Beauchêne

Cette ferme a été créée en 2004 par Thomas DOUILLARD. Elle se situe en Loire-Atlantique (44) sur la commune du Lorroux-Bottereau.

C’est une ferme de type polyculture-élevage. Elle compte 261 hectares sur lesquels sont cultivés du blé, du maïs ensilage, de la prairie, du colza et de l’orge.

L’exploitation dénombre un total de 145 vaches : 110 mères de race Charolaise et 35 de race Rouge des près en AOP « Maine-Anjou ». L'exploitation élève aussi une cinquantaine de taurillons.

La ferme pratique aussi la vente directe car pour l’éleveur, cela permet d’avoir un contact direct avec la clientèle et donc cela permet de faire partager son métier.

L’éleveur participe aussi à de nombreux concours en Rouges des près pour faire connaitre cette race qui a failli disparaître, notamment au CIA.

Evane, l'une des vaches de concours
Stabulation des taurillons

















Plaque de récompense

















Bastien

vendredi 2 décembre 2016

Une petite douche pour Irma

Cette semaine, nous avons profité de notre entraînement à Maurepas pour faire un brin de toilette à Irma : un petite douche s'imposait ! Brosse, shampoing et huile de coude étaient de la partie.

Les hommes à l'oeuvre
Un vrai travail d'équipe !


La voilà toute propre avec Antoine















Elle a vraiment adoré nos papouilles ! Vous ne trouvez pas qu'elle se la pète un peu notre vedette sur ces photos ?

































L'équipe TNLA 2017

jeudi 1 décembre 2016

Bilan d'après film !

Nous avons eu l’honneur d’accueillir M. HETREAU, vétérinaire, éleveur et co-réalisateur du film. Celui-ci est resté avec nous après la projection pour animer le débat qui faisait intervenir le public (étudiants et éleveurs).

Le film portait sur la gestion de la douleur des vaches et nous emmenait dans différents élevages en France. Que ce soit dans le quotidien ou à des moments clés de la vie des animaux (vêlage, écornage etc), M.HETRAU expliquait à chaque fois l’origine de la douleur en donnant des explications techniques et des conseils pour atténuer les douleurs.

La salle de cinéma !

Le débat qui s’en est suivi a tout d’abord porté sur la manière dont communiquent les éleveurs sur leur métier. Les éleveurs présents dans la salle ont notamment souligné l’importance d’ouvrir leurs portes et de montrer comment ils travaillent au grand public. La question qui a le plus porté à débat fut la suivante : « Peut-on envisager la diffusion de ce film à la télévision par exemple à des heures de grande écoute ? ». Les avis étaient partagés, certains pensant que les médias ne seraient pas intéressés car le film n’est pas assez « choc » et « trop positif » pour l’élevage. D’autres aussi pensaient que les parties techniques (avec les neurologues et vétérinaires) n’intéresseraient pas le grand public et que la scène d’écornage pourrait choquer les téléspectateurs. Enfin d’autres pensaient que l’on pouvait diffuser ce film tel quel sans que cela pose problème.

L’ensemble des étudiants et des éleveurs ont apprécié le film et le débat de même que M. HETREAU. Ceci nous incite donc à continuer à proposer des films et des échanges de qualité auprès des étudiants.
L'équipe TNLA 2017

mercredi 30 novembre 2016

Et voici notre CM Charo' : Rémi !

Bonjour à tous, 

Je m'appelle Rémi et j'ai 18 ans. Originaire des Ardennes et fils d’agriculteur, je baigne dans le monde agricole depuis tout petit.

Passionné d’élevage et de concours, j’ai tout de suite adhéré à Vach’Expo lorsque je suis arrivé en première année. 

J’ai participé au TNLA 2016, et cette année pour continuer l’aventure j’ai choisi de diriger avec Victoire la nouvelle équipe dynamique et motivée que vous allez bientôt découvrir. 

C’est une photo prise lors de la Foire de Sedan.
Rémi L.

mardi 29 novembre 2016

Jackpot !

Cette année, la ferme de Maurepas a eu l'honneur de mettre 2 taureaux en station d'évaluation à Sommepy-Tahures (51).
Parmi ces 2 animaux, Joyau LB s'est classé 1er de station et a été vendu aux enchères.

Notre champion

C'est Gènes Diffusion qui a acheté ce jeune taureau. Il est actuellement inscrit dans leur catalogue Charolais. Il a également été rebaptisé JACKPOT ! Tout est dit ...

Il faut dire que ce monsieur à déjà du succès. En effet, il produit déjà des paillettes de semence sexée !

Il est inscrit dans la gamme premium du catalogue et est décrit comme un taureau idéal pour les génisses. Il favorise le développement squelettique et la lactation.

Il s'agit d'une fierté pour les exploitants, pour l'école et pour les étudiants qui fréquentent la ferme.

Victoire

lundi 28 novembre 2016

Notre responsable se montre enfin !

Salut tout le monde !

Moi c’est Victoire, 19 ans, je suis issue d’une famille d’agriculteurs du Nord-Pas-de-Calais et j’étudie à UniLaSalle - Campus Beauvais en deuxième année d’ingénieur spécialité agriculture.

J’ai dans l’optique la reprise de l’exploitation familiale et l’élevage est pour moi ce qui fait vivre un corps de ferme.  

Ayant chez moi un atelier de vache allaitante de race Salers, c’est tout naturellement que je me suis investie dans l’association Vach’Expo en arrivant sur le campus.
Cela a commencé en participant au TNLA 2016 et cela continue cette année. En effet, je suis responsable pour le TNLA 2017 de l’équipe Charolaise.

Avec Rémi, second responsable, nous avons bien l’intention de pousser nos troupes à faire le meilleur !

Cette fois-ci c’est dit, rendez-vous à Paris !

Une petite photo de moi et mes Salers
Victoire

dimanche 27 novembre 2016

Noémie nous explique ... le sevrage

La période du grand froid approche à grand pas, c’est donc le moment de rentrer les bêtes à l’abri ! Mais c’est aussi un moment très difficile pour les 50 mères de race Charolaise de la maison puisqu’elles vont quitter leurs petits.

Il est grand temps que ces petits Charolais aient de l’indépendance et apprennent à se débrouiller seuls !

Par définition, le sevrage est l’action de diminuer progressivement l’alimentation lactée et de remplacer celle-ci par des aliments solides. Le veau va donc continuer de téter sa mère jusqu’à l’âge de 6 à 8 mois.
« Je suis trop triste maman me manque,
 tu peux m’aider ? »

Les petits découvrent le cornadis…


Noémie

samedi 26 novembre 2016

Formation de pointage sur les Prim' !

Cette semaine, nous avons découvert les secrets du pointage sur Prim'Holstein.

On écoute attentivement les explications

Laurent FERRY, pointeur à Prim'Hostein France a d'abord pointé la vache sélectionnée par l'équipe Prim' qui participe au TNLA 2017, tout en nous expliquant l'ensemble des critères à juger.

Ensuite, nous avons tous pointé deux autres vaches par nous-même, nos feuilles de pointage ont été corrigées par le responsable et le chargé de mission Prim', en fonction de l'écart de notation avec le pointeur afin d'établir un classement.

Les adhérents à l'association Vach'Expo pourront, s'ils le souhaitent, participer au concours départemental de pointage le 8 décembre puis une sélection sera effectuée pour permettre aux deux meilleurs régionaux de pointer au Salon de l’agriculture.

La journée s'est achevée sur un petit goûter.

A vos stylos ! 
Pour Stanislas et Antoine, le pointage c'est du sérieux ! 

L'équipe TNLA 2017

vendredi 25 novembre 2016

Dernier et pas le moindre : Bastien !

Salut !

Je m’appelle Bastien, j'ai 18 ans et je suis en première année d’ingénieur en agriculture à UniLaSalle – Campus Beauvais.

Me voilà en très bonne compagnie !

Je fais partie de l’équipe Charo’ ! Je viens de la région Centre, du département de l’Indre et je suis vraiment passionné par l’élevage bovin.
Connaissant peu le monde des concours bovins, adhérer à Vach’Expo et participer au TNLA 2017 me permettrais de vivre une unique expérience. Avec Vach’Expo, je vais pouvoir approfondir mes connaissances sur l’élevage. De plus, je pense que c’est très enrichissant de vivre le TNLA 2017, cela nous permet de rencontrer de nombreuses personnes et de confirmer mon intérêt pour l’élevage !
Et voilà, c’est ainsi que je me retrouve embarqué dans cette belle expérience du TNLA 2017 !

On se retrouve à Paris ! ;)
Bastien

jeudi 24 novembre 2016

Rémi, le cinquième membre de notre équipe !

Coucou tout le monde ! 

Je m’appelle Rémi, j’ai 18 ans et je suis étudiant en première année agriculture à UniLaSalle – Campus Beauvais. Je suis originaire de la Somme.

Mon père possède une exploitation de polyculture-élevage biologique avec un atelier de vache allaitante de race Blonde d’aquitaine.

Un petit cliché dans la ferme familiale !

J’ai donc grandi dans le monde de l’élevage mais je ne connais pas du tout l’univers des concours et c’est principalement pour cette raison que j’ai choisi d’intégrer l’équipe du TNLA 2017.

Ce sera aussi l’occasion d’approfondir mes connaissances sur les vaches allaitantes et de passer de super moment avec une équipe et un bureau soudés !
Rémi D.

Antoine nous explique ... les abattoirs mobiles

Aujourd’hui, lorsque l’on parle d’élevage avec des personnes qui ne sont pas éleveurs et qui connaissent peu ce domaine, beaucoup sont préoccupés par le bien-être animal, et donc l’abattage des animaux.


Abattoirs mobile d'une société en suède suède
 (http://industrie-agroalimentaire.com/viande-ethique-abattage-mobile/


C’est pourquoi j’ai décidé d’écrire un petit article concernant un sujet qui m’a intéressé : la création d’un abattoir mobile circulant de ferme en ferme en Suède.


Abattoir mobile de la société Halsingestintan en Suède
 (http://www.cote2boeuf.fr/le-blog/abattoirs-on-passe-au-mobile/

Ce procédé est relativement développé dans ce pays. Il consiste au déplacement d’un camion équipé pour l’abattage des animaux d’exploitation en exploitation. Pour beaucoup cette technique est considérée comme plus proche du lieu d’élevage, plus respectueuse des animaux et des travailleurs. En effet les animaux restent dans un endroit qu’ils connaissent ; ils sont nés et ont grandi dans cette ferme, l’éleveur mène ses bêtes jusqu’au camion : cela est plus rassurant pour l’animal. L'animal est ensuite étourdi, suspendu puis saigné.

Réunion de la Team !

Prêt à travailler ! 

Hier soir, toute l'équipe s'est réunie pour faire une mise au point sur l'avancement des préparatifs pour le TNLA 2017. Nous avions pour objectifs de mettre en commun nos idées concernant l’argumentaire de notre affiche, l'écriture du script de notre vidéo ainsi que celui du sketch lors de la présentation au SIA.

En mode sérieux :p
L'équipe TNLA 2017

mercredi 23 novembre 2016

Une quatrième vedette ...

Bonjour !

Je m’appelle Stanislas, j’ai 19 ans et je suis en seconde année du parcours d’ingénieur en spécialité agriculture dans notre école UniLaSalle - Campus Beauvais.

Ma famille est d’origine rurale : endiviers Picards d’un côté, viticulteurs Bourguignons de l’autre, mais mes parents n’exercent pas dans le milieu agricole. J’habite donc en région parisienne, dans les Yvelines.

J’ai toujours apprécié les bovins, et mes différentes expériences de visites et de stages agricoles n’ont fait que confirmer cette attirance. J’ai une affection particulière pour la race Charolaise, originaire de Bourgogne et très présente dans cette région.

L’association Vach’Expo permet de satisfaire ma curiosité et de m’investir : j’espère en effet que cette expérience sera un réel enrichissement, tant au niveau professionnel qu’au niveau humain.

Cela fait plusieurs années que j’assiste aux présentations du Salon International de l’Agriculture à Paris, et c’est pour moi une vraie chance de pouvoir y représenter mon école avec une équipe si enthousiaste. 

J'ai rencontré mon grand amour <3
Stanislas

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